Un travail collaboratif fait sensation à l’EBSI

Par François Latendresse

Le travail Bibliothèques et archives vivantes galvanise une cohorte de maîtrise en sciences de l’information, si bien qu’elle veut le faire renaître en-dehors des murs de la classe.

Ce ne sont pas tous les travaux universitaires qui méritent d’être soulignés. En octobre à l’EBSI, une activité marquante soude cet automne un groupe principalement constitué de camarades de première année de maîtrise en sciences de l’information. Cela fait quelques semaines que les uns se préparent avec plus ou moins d’excitation à la séance du 11 octobre du cours d’Interactions avec les usagers des services d’information, où ils entrent en contact avec les autres pour partager une expérience vécue ou un champ de connaissance. Dans les discussions informelles ces dernières semaines, on entendait beaucoup se répéter la question : « Es-tu livre ou emprunteuse? »

La première étape du travail collaboratif Bibliothèque et archives vivantes consiste à choisir de se désigner soi-même comme document – livre ou archive – ou comme personne emprunteuse. Puis, chaque personne désignée comme document a le temps de méditer son sujet et son contenu, qu’elle devra livrer oralement au moment de l’emprunt. Une fois les titres publiés en amont, les personnes emprunteuses font leur sélection parmi la liste. Une semaine plus tard, c’est le jour J et tout le monde se jumelle aux quatre coins du pavillon André-Aisenstadt où se donne le cours. Les balises sont claires : il faut respecter les limites du vis-à-vis, être sensible à son langage non-verbal et ne pas imposer un sujet ou une question qui met mal à l’aise. C’est ainsi que l’information se transmet le 11 octobre dans une atmosphère de curiosité et d’ouverture. Le plaisir prend.

Un étudiant raconte le dur emploi qui l’a occupé ces derniers étés. D’autres parlent de leur condition médicale ou de leur accouchement. Les expériences personnelles sont toutes pleines de surprises et de rebondissements. Les documents à caractère historique ou scientifique, pour leur part, en apprennent des tonnes aux personnes qui les approchent. Qui aurait cru qu’on puisse s’instruire sur la disparition de la pomiculture à Montréal dans un cours de sciences de l’information? Certaines personnes participantes, tant du côté de l’emprunt que du document, ne voient pas le temps passer. Les discussions s’étirent au-delà de la durée proposée. Bref, la formule est un succès.

Ce n’est pas la première itération du travail. C’est cependant la première édition dirigée par la chargée de cours Myrian Grondin. Cette bibliothécaire à l’Institut national de recherche scientifique a bravement repris le flambeau du cours obligatoire Interactions avec les usagers des services d’information en l’absence de la professeure Nadine Desrochers, qui le donne habituellement à l’EBSI. Au début de la séance, où tout le monde doit arriver en arborant un badge qui mentionne son humeur en plus de son nom et de son rôle, madame Grondin nous montre le sien, « déçue ». Elle explique avec humour qu’elle ne pourra pas emprunter les livres et archives pour écouter tous les propos et histoires du groupe. Elle doit en effet veiller au bon fonctionnement de l’exercice avec ses deux auxiliaires d’enseignement. Grâce à l’esprit de collaboration de tout le monde, le processus aboutit sans anicroche.

Le badge du participant qui écrit ces lignes.

Dans les heures suivantes, sur le groupe Facebook de la cohorte de première année de maîtrise, plusieurs publications et commentaires font état de l’énorme satisfaction qui émane de cette mise en commun des vécus et des savoirs. On entrevoit même la possibilité de donner une seconde vie à l’évènement dans un cadre informel. Souhaitons que la motivation du groupe vienne à bout des écueils administratifs que représente l’emprunt d’un local pour activités libres sur le campus!

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Prendre soin de sa santé mentale : ressources et conseils pour les étudiant.e.s de l’EBSI

Par Hind Obad Fathallah

La mi-session est à nos portes et, cumulée à nos autres préoccupations quotidiennes, on peut vite se sentir débordé.e, surtout lorsqu’on débute nos études. Vous n’êtes pas seul.e dans cette situation! Voici une compilation de quelques ressources et conseils de la part de votre association étudiante. Cette liste n’étant pas exhaustive, n’hésitez pas à nous écrire pour en suggérer d’autres!

À l’EBSI

  • Connaissez-vous le réseau des sentinelles? Les sentinelles, des employé.e.s de l’UdeM, sont spécialement formées pour accompagner les étudiant.e.s en détresse psychologique. À l’EBSI, c’est Isabelle Dion. N’hésitez pas à lui écrire ou à aller la voir pour être dirigé.e vers des ressources, ou pour une oreille attentive.
  • Participez aux séances de co-travail organisées par votre association étudiante pour étudier avec vos camarades.
  • Allez aux 5 à 7 organisés par votre association étudiante pour vous changer les idées et étendre votre réseau social! Vous pouvez aussi profiter du local étudiant pour échanger avec vos collègues.
  • Que vous ayez simplement besoin d’une oreille ou d’infos sur les ressources existantes, n’hésitez pas à parler de vos difficultés à vos camarades et aux membres de votre association étudiante.
  • Si vous n’êtes plus en mesure de remettre vos travaux, prenez une entente avec vos professeur.e.s pour les remettre un peu plus tard. Vous pouvez aussi en parler à votre conseiller ou conseillère pédagogique, ou au responsable de votre programme :
    • Sabine Mas pour les certificats en archivistique et en gestion de l’information numérique;
    • Clément Arsenault pour la maîtrise;
    • Dominique Maurel pour le doctorat.

À l’UdeM

  • Pour étudier en groupe, la Bibliothèque des lettres et sciences humaines (BLSH) offre du mercredi au vendredi des matinées de rédaction basées sur la méthode Pomodoro de Thèsez-vous.
  • Saviez-vous que les bibliothèques de l’UdeM offrent accès à des lampes de luminothérapie, de la zoothérapie et toutes sortes d’activités dédiées à votre bien-être?
  • Le site web de Tout le monde a des bas est une campagne de l’UdeM qui compile une multitude de ressources lorsque vous avez besoin d’aide ou souhaitez soutenir une personne vivant une période difficile.
  • Le Programme mieux-être est offert à tous et toutes les étudiant.e.s membres de l’ASEQ (l’assurance médicale étudiante); c’est un service confidentiel en santé mentale et en bien-être disponible 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, qui donne accès à des professionnel.le.s de la santé en ligne et, depuis cet automne, en personne. On accède au Programme mieux-être avec l’application mobile Dialogue ou sur le Web.
  • Le Centre de santé et de consultation psychologique de l’UdeM offre accès à des services auprès de psychoéducateurs et psychoéducatrices, et de psychologues à des tarifs abordables, en ligne ou sur le campus; le premier appel est gratuit et vous permet d’obtenir un suivi ou d’être placé.e en liste d’attente.
  • Pour les parents-étudiants, consultez cette liste de ressources au sein de l’UdeM.
  • Si vous êtres stressé.e par votre situation financière, vous pouvez vous faire aider par le service de l’Aide financière des Services à la vie étudiante (SAÉ) pour trouver des bourses et programmes de financement.

À l’extérieur

  • N’hésitez pas à demander le soutien de vos proches; ne restez pas isolé.e.
  • On le sait généralement, mais on l’applique peu : la qualité de notre sommeil et de notre alimentation a une influence majeure sur notre bien-être!
  • Si vous avez accès à un médecin, il peut vous faire un billet médical pour prendre du repos, ce qui remet vos travaux et examens.
  • Vous pouvez aussi prendre rendez-vous avec des professionnel.le.s de la santé à l’extérieur de l’UdeM, que ce soit auprès de thérapeutes ou de travailleurs et travailleuses sociales au sein des organismes communautaires de votre quartier.
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Bibliothécaire et fier.ère de l’être : Une soirée inspirante avec cinq bibliothécaires

Par Thomas Gagnon-van-Leeuwen

La journée typique d’un.e bibliothécaire, ça ressemble à quoi? Pour les cinq panélistes du 5 à 7 sur le thème « Profession bibliothécaire » tenu à l’EBSI le 23 septembre dernier, la réponse est simple : il n’y a pas de journée typique, et c’est très bien comme ça. Comme bibliothécaire, on aime quand ça bouge!

L’association des étudiantes et étudiants de l’EBSI et la Corporation des bibliothécaires professionnels du Québec (CPBQ) ont organisé cet événement qui combinait panel de discussion et réseautage. Une trentaine d’étudiant.e.s ont eu la chance d’échanger avec les panélistes suivantes :

  • Lourdine Altidor Marsan, chargée de projets en carrefour d’apprentissage chez Centre de services scolaire de Montréal (CSSDM) et présidente de la CBPQ;
  • Marik Trépanier, directrice des bibliothèques de proximité et des services à la clientèle à l’Institut canadien de Québec (ICQ);
  • Manon Beauchemin, responsable des collections en sciences sociales ainsi que des collections et des services offerts par BAnQ aux personnes nouvellement arrivées au Québec;
  • Anne-Frédérique Champoux, bibliothécaire au Collège Bois-de-Boulogne; et
  • Louise Guillemette-Labory, ancienne directrice de bibliothèques de la Ville de Montréal et ancienne présidente de la CBPQ.

Julie Lise Simard, doctorante à l’EBSI, a animé la discussion avec brio.

Des enjeux de taille

Il ne manque pas de défis dans la profession de bibliothécaire. Pour affronter les enjeux d’aujourd’hui, nos panélistes ont souligné l’importance d’apprendre tout au long de la vie. C’est dans l’ADN de la profession, et c’est nécessaire pour faire face à de nouvelles réalités comme l’intelligence artificielle générative.

L’enjeu épineux de la cohabitation des publics, particulièrement en bibliothèque publique, est revenu à quelques reprises. Il faut s’assurer que la bibliothèque serve tout le monde, incluant les personnes en situation précaire, sans perdre d’autres publics ou le personnel de première ligne. Parlant de publics, la participation citoyenne est importante : on veut que les personnes usagères s’approprient la bibliothèque.

Nos panélistes ont insisté qu’il faut agir comme ambassadeur.trice.s de la profession sur toutes les tribunes. On doit convaincre, défendre, sensibiliser et vendre l’importance des bibliothèques sans relâche. Comme Louise Guillemette-Labory l’a bien dit, « il faut que tout le monde sache que vous êtes bibliothécaire et fier.ère de l’être ».

Montrez-vous!

Et alors, quoi faire durant et après ses études si on veut devenir bibliothécaire? Pour nos panélistes, le mot d’ordre est « montrez-vous! » Faites du réseautage, saisissez toutes les opportunités qui s’offrent à vous et n’ayez pas peur d’essayer différents domaines. Parfois, il faut se donner le temps de trouver sa place.

Dans cet ordre d’idée, l’adhésion annuelle étudiante à la CBPQ est de 25 $ et inclut notamment un programme de mentorat qui jumèle les personnes étudiantes ou en début de carrière avec des bibliothécaires aux intérêts similaires.

Il y aussi le Congrès des professionnel.le.s de l’information (CPI) du 5 au 8 novembre prochain. Faire du bénévolat pour cet événement est une belle opportunité de rencontrer des gens du milieu et de bâtir son réseau. On s’y voit?

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Les dernières actualités de l’AAQ

Par Vanessa Lanteigne

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Valoriser les archives des arts de la scène : une passion – Conférences-midi

Par Liza Leblond

 

(CC)-BY-SA Meshuggah Stage Design 2022, de Kinglevel via Wikimedia Commons https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Meshuggah_Stage_Design_2022,_Ancienne_Belgique,_Belgium._06.jpg

Le 21 mars dernier, l’Université de Montréal a accueilli, dans le cadre des Conférences-midi organisées par l’EBSI, Valérie Lessard, fondatrice de Filigrane Archives. Elle nous parle de son parcours, son entreprise, et des enjeux et défis de l’archivistique dans le domaine des arts de la scène.

Filigrane Archives

Filigrane Archives est née en 2020 d’une volonté de participer à la conservation du patrimoine des arts du Québec. L’idée a toutefois germé quelques années plus tôt, alors que la conférencière étudiait à la M.S.I. à l’EBSI. Madame Lessard a débuté son parcours académique et professionnel dans le monde des arts et de la culture, d’une part comme danseuse, d’autre part comme enseignante de l’histoire de la danse et comme médiatrice culturelle. Ses propres besoins de recherche ont toutefois éveillé un intérêt pour l’archivistique, faisant bifurquer son parcours vers le domaine des sciences de l’information.

En pleine pandémie, le monde des arts de la scène s’est retrouvé figé dans le temps, menant artistes et compagnies à tourner le regard vers leur avenir et leur patrimoine, et sur les traces qu’ils comptent laisser derrière eux. Filigrane Archives, pionnère en son genre, s’est donc retrouvée en haute demande. En effet, comme nous l’explique madame Lessard, les Archives nationales n’ont pas les ressources requises pour pouvoir accueillir tous les fonds d’archives d’artistes québécois; dans la majorité des cas, la responsabilité de conserver ces fonds d’archives tombe donc sur les créateurs eux-mêmes. À cela s’ajoute le contexte particulier des arts de la scène et les singularités qui existent dans la gestion de ces archives, faisant appel à des compétences plus spécialisées dans le domaine des arts. 

Répondant à une question sur un potentiel projet de service d’hébergement des fonds d’archives, la conférencière indique que malgré l’intérêt pour un tel projet, Filigrane Archives ne peut pas présentement offrir l’hébergement des fonds puisque cela requiert d’importantes ressources; les services actuels de l’organisation se concentrent donc autour de l’évaluation, la classification, la numérisation, la création de documentation et la diffusion, en plus d’offrir aux artistes et compagnies des formations leur permettant de devenir plus autonomes dans la gestion de leurs archives.

L’archivistique dans les arts de la scène

L’un des services peut-être plus atypiques offerts chez Filigrane Archives est celui de la création de documentation, qui vise à pallier à certains manques en archives des arts de la scène : l’enjeu de la durée de vie des productions artistiques. L’archiviste invitée mentionne en effet que plusieurs parties du processus artistique et des productions des arts de la scène sont difficilement documentables; la « pérennité » est assurée (si elle l’est) par la passation des savoirs, par la tradition orale. Le processus de gestion des archives de ce domaine passe donc par la discussion avec le ou la créateur.trice, ou toute autre personne impliquée dans ces productions. En ce sens, une façon de documenter a posteriori les productions artistiques est de documenter ces dialogues et le processus de gestion lui-même.

La conférencière note également d’autres enjeux omniprésents dans ce secteur spécifique de l’archivistique. Parmis ceux-ci, des enjeux « politiques » d’éthique et de décolonisation, qui doivent orienter le processus : l’un des projets actuels de Filigrane Archives a d’ailleurs pour objet le fonds d’archives du Festival International Nuits d’Afrique. C’est dans ce contexte que l’organisation mène un projet d’indexation avec le festival, prenant soin de déterminer quels termes d’indexation répondent le mieux aux communautés concernées par ces archives. L’un des objectifs de ce projet est de permettre une meilleure découvrabilité des artistes musicaux de la catégorie dite « musique du monde » (terme qui pourrait d’ailleurs faire l’objet de changement); la valorisation et la diffusion des archives artistiques font partie intégrante de la mission de l’organisation, mettant en lumière le patrimoine québécois des arts de la scène.

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Retour sur le « Speed dating professionnel » avec l’ABPQ

Par Hind Obad-Fathallah

Le 21 février dernier avait lieu l’évènement annuel Speed dating professionnel, organisé par l’Association des bibliothèques publiques (ABPQ) en collaboration avec l’EBSI, dans le cadre du cours SCI6305 (bibliothèques publiques) donné par Marie-Hélène Parent. Durant trois heures, les étudiant.e.s ont pu échanger à tour de rôle avec 11 professionnel.le.s des bibliothèques publiques au Québec. Ces professionnel.le.s venaient de bibliothèques de Montréal, Brossard, Trois-Rivières, du réseau Biblio de la Montérégie ou encore de Repentigny, à des postes de chef de service, cheffe de division, bibliothécaire liaison, coordonnateur médiation et plus encore! Pendant quinze minutes, chaque professionnel.le s’est promené de table à table pour présenter à deux étudiant.e.s son parcours, son quotidien, ses conseils, et répondre à leurs questions sur le métier.

Parmi les riches discussions nous avons parlé de :

  • Les activités et les projets innovants dans les bibliothèques publiques;
  • La gestion de bibliothèque (planification stratégique, gestion de ressources humaines…);
  • Le rôle de médiation et la liaison communautaire;
  • La diversité des bibliothèques publiques;
  • L’ancrage dans la communauté et la proximité avec les usager.ère.s;
  • Les défis actuels tels que le manque d’espace, les enjeux de financement, etc.;
  • Et bien d’autres sujets passionnants!

Merci à tous.tes les professionnel.le.s pour leurs généreux partages et aux étudiant.e.s pour leur
participation enthousiaste.

Saviez-vous que les 2 et 3 mai prochains se tiendra à Montréal (et en ligne) la neuvième édition du Rendez-vous des bibliothèques publiques du Québec? Un tarif préférentiel est en vigueur pour les étudiant.e.s.

L’ABPQ recherche également des bénévoles, qui auront accès à l’évènement en échange de leur temps. Si vous êtes intéressé.e, communiquez directement avec Véronique Méar.

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10 conseils de professionnel.le.s entendus lors des Rencontres Info-Lib de l’ABQLA

Par Hind Obad-Fathallah

L’évènement Info-Lib, une collaboration entre l’Association des étudiantes et étudiants de l’EBSI (AEEEBSI) et l’Association des bibliothécaires du Québec/Quebec Library Association (ABQLA), a eu lieu le 12 mars dernier dans les locaux de l’EBSI. Lors de cette rencontre, nous avons pu échanger avec des professionnelles des sciences de l’information de divers milieux.

Voici donc 10 conseils tirés de ces conversations, pour votre recherche d’emploi et vos débuts de carrière.

Le congrès de l’ABQLA aura lieu le 10 mai prochain. Dirigez-vous vers leur site web pour plus d’information.

Pssst! Saviez-vous que l’adhésion à l’ABQLA est gratuite pour les étudiant.e.s?

Vous voulez devenir délégué.e de l’AEEEBSI à l’ABQLA, et participer à l’organisation d’autres évènements de ce type? Contactez votre coordinateur.trice aux affaires externes via l’AEEEBSI, au aeeebsi@ebsi.umontreal.ca.

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Automne 2020 – Gestion de la crise de Covid-19

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Hiver 2020 (vol 35, no 1)

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Automne-hiver 2018-2019 (Vol. 34, no 2 )

Table des matières

Nouveau comité conjoint des étudiantes et étudiants de la SIS et de l’EBSI
par Myriam Huot-Panneton et Audrey Doyon

Une petite histoire des bibliothèques scolaires : regard contemporain sur le rapport Bouchard (1989)
par Gabriel Bouchard

Visite au Centre de préservation de BAC à Gatineau
par Virtue Tran

Retour sur la journée d’étude Bpi-Enssib à Paris
par Myriam Huot-Panneton

Une journée dans la vie d’un professionnel de l’information
par Anne-Marie Asim

Témoignage express d’une bibliothécaire étudiante
par Anouk Lavoie-Isebaert

La direction d’une bibliothèque universitaire : les défis de gestion
par Nadia Zurek, en collaboration avec Julie Courtemanche

Calendrier de l’avent
par l’équipe de La référence

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